Ah mes aïeux, quelle
grande aventure en effet, cela m'a donné envie d'écrire un roman, tiens!
Dalox Quichotte et Sancho Zarth Arn partirent fêter ce second jour du printemps en balade dans cette série encore toute fumante malgré un temps bretonnant.
Nous observâmes d'abord
1 minute 30 secondes de silence pour un chasseur qui n'avait malheureusement plus le rythme dans l'appeau.
Puis vint la partie
épique de l'histoire... si je puis dire.
A partir de là, le dieu de la salsepareille ne nous quitta plus (ah la salsepareille, un truc qui m'colle encore au coeur et au corps
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surtout au corps). D'ailleurs, ça "piquait" aussi dans les cuisses, la faute à un terrain "exigeant", on va dire.
Bref, la pause
soupière fût la bienvenue: ce n'était pas une soupe populaire à proprement parler car nous étions seuls au milieu des bois mais ça fit du bien avant de remettre les couverts, comme le ciel ce matin-là.
Car il fallut bien repartir au charbon et se diriger vers la ciste suivante.
La combe, tu l'aimes ou tu la quittes, comme disent certains: ben nous, nous l'aimâmes et la quittâmes la mort dans... l'âme.
Plus loin, nous dominâmes enfin la situation, un point de vue sur ces lieux magiques qui appelait à la contemplation mystique: "ouf, notre voiture est toujours à sa place tout en bas".
Une image de paix sur la terre idéale, une vision directe des forces de la nature créatrices et essentielles,
l'heure de gloire comme le dit Bib... Ce qui inspira également Dalox, poète à ses heures, qui s'exclama "Amour, gloire et sentiers!"
Encore un petit effort et nous rebroussâmes chemin au
bivouac, un peu tristes d'écourter nos pérégrinations cistiques dans ces sublimes décors (était-il possible de poursuivre tout en bouclant l'aventure?)
Mais cela ne dura pas, comme Dalox était d'humeur joueuse, nous improvisâmes un chemin de retour. Si vous aussi avez l'âme aventureuse, "au niveau du cairn 10 mètres plus loin"... "là où la végétation est moins agressive", en sortie de combe comme le décrit l'énigme no3: au lieu d'"avoir le coeur léger", ayez-le lourd et descendez toujours au plus évident (sente, pseudo-sente à vous de voir) pour rejoindre une piste enfin très nette, à peu près plate, que vous prenez à droite et qui vous ramène dans le fil de l'histoire par un détour inédit et bien moins "exigeant".
Et pour conclure cette symphonie cistique, Mozart est là, ce terrain est un véritable gruyère
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avec une surprenante et insolite découverte perchée à laquelle il ne manque qu'un ascenseur.
(PS aux suivants: comme l'a noté Duluoz, il ne faut pas confondre la boite de Bib' avec sa voisine toute rouge posée par nos confrères).
Encore merci Bib' pour cette grande aventure qui nous a fait crapahuter
par monts et merveilles!
Je crois que quand mon ordinateur me demande si je souhaite « quitter le système », c'est là que je voudrais m'installer et faire du fromage de chèvre.
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