
Nombre d’entre vous, présents le dimanche 31 janvier lors de la rencontre-galettes-cistes, connaissent maintenant l’infâme Garouchon

Ce même dimanche, ledit Garouchon, se matérialisa en chairs et en os, sous les traits de … chut…

Était-ce les trombes d’eau qu’il reçut gratos ce jour-là ou un trop plein de délicieuses galettes dévorées

Fin de l’histoire ? Que nenni !

Car dans son sillage odorant, Garouchon avait entraîné une trentaine d’invités plus ou moins humides mais plus que moins affamés, dans la modeste retraite dudit cisteur qui l’avait créé, faisant fuir, séance tenante sous la pluie battante, les deux matous furieux

Au départ des mangeurs de galettes, on n’en dénombrait plus qu’un…


Après de vaines recherches dans tous les coins et recoins qu’affectionnaient particulièrement le matou en fuite, hélas… il fallut se rendre à l’évidence… apeuré par la meute hurlante des cisteurs affamés, il avait disparu corps et âme dans la nature…

Depuis ce temps, dans une contrée de Savoie proche de Chambéry, toutes les nuits et surtout les nuits de pleine lune, on entend des miaulements terrifiants à glacer le sang dignes d’un Félin-Garou…

Alors de penser que le pouvoir maléfique de Garouchon se soit transmis lors d'une traitresse caresse à un matou en quête de vengeance, il n’y a qu’un pas … de velours…


A suivre…
