Le Blues du dimanche soir
Partis pour un WE familial chez les ligériens, on ne ne savait pas trop si l’on pourrait cister
En revanche faire un petit/gros détour en rentrant et passer chercher Emile nous tentait bien
Alors on se met à surveiller le forum :
11/11/11 11 :11 :11 : des pseudos nouveaux sont inscrits ; Emile est toujours dans sa cachette
12/11 : idem
13/11 14h : encore un nouvel inscrit ce jour
13/11 15h : rapide décompte horaire pour savoir si on a le temps d’arriver sans sortir la frontale, abandon des gagas sur le champ et c'est parti, on le tente
Le trafic est correct mais, l’heure tourne et le soleil décline au fil des kilomètres.
Si l'on ne veut pas être en mode
, il ne faut pas lambiner.
Sur place, il faut faire appel à notre mémoire : pas de carte (de toutes façons le tracé n'y est pas vraiment), l'énigme plus qu'épurée sur notre papier est résumée au minimum, qu'à cela ne tienne !
Voilà le pont , puis le sentier bien glissant, la passerelle... (euh... introuvable), le panneau, le balisage (ou presque), le coup de fil à un ami, le soldat qu’on ne voit pas, le plafond qui s’abaisse (trop vite pour les grands à ce qu’il parait), la frontale, la photo indispensable, … et la
boite … ou plutôt celle qui reste : leliman est passé par là... mais au fait qui est-ce ? Un autotchtone ?!
Adieu l’Emile… on avait tout prévu : ta nouvelle cachette, l’enchainement de ton histoire, tout (ou presque)
Ce compte rendu pourrait s’intituler :
« comment vendre la peau d’Emile avant de l’avoir déniché »
Gro
ttesque allez-vous penser et vous auriez raison ! En tout cas en pareil contexte c’est le mot de circonstance…
Moralité : rien n'a servi de courir, il eut fallu partir la veille
BRAVO au(x) nouveau(x) cisteur(s) : pour un coup d’essai, c’est un coup de Maître
Prochaines aventures à suivre sur la toile, après tout,on ne sait jamais