Avec une aide énorme de la part de Woodpecker, je vois présente un jeu des dix énigmes. Ce sujet est créé pour vos questions sur le jeu.
Comme on ne met pas les énigmes sur le forum, vous ne trouverez ici que l'histoire sans mots-clés

DIX P’TITS SOLDATS

CISTERRITOIRE :

Dix p’tits soldats la rue […] longeaient (quelle belle nature !).
Près de […], l’un s’arrêta, voyant la Saône d’un mur.
Les autres crièrent: « Ne grimpe pas, toi, à ce vieil arbre ! Basta ! »
Il n’a pas entendu ses potes… Que neuf il n’en resta.
Neuf p’tits soldats, en voyageant, le […] ont pris.
L’un a voulu continuer, même après être sorti.
« Y’a plus de […], fais attention ! Car il fait sombre la nuit ! »
Il n’a pas entendu non plus… Il n’en resta que huit.
Huit p’tits soldats quittent le […] par la porte de […].
Ne pensez-vous pas que, bientôt, n’en restera que sept ?
Et voilà ! Cherchez une ciste (cachée en beige, plastique) !
Pour vous aider : trouvez donc un […].
Sept p’tits soldats, hier, vinrent voir leur ami d’Italie.
Il s’appelait […], comme son jardin joli.
« La porte de l’[…] est la meilleure ! Il faut qu’on la choisisse ! »…
L’un fut tué par le […]. Il n’en resta que six.
Six p’tits soldats ont regardé un jeu de l’[…].
Et, à côté, il y a un parc : très beau, pas spécifique.
Un p’tit s’est reposé un peu sous un petit sapin.
Il s’est pas réveillé. Tant mieux : il n’en resta que cinq.
Cinq p’tits soldats… Ils célébrèrent la fête de la […].
La place correspondante fut choisie. Près d’un […],
Il y eut un signe pour chercher là... Personne ne s’arrêta
Et l’un fut oublié là-bas... Que quatre il n’en resta.
Quatre p’tits soldats donnèrent des leçons de […].
La rue de l’[…], elle fut trouvée pour le profit.
« Tu veux descendre par elle à pied ?! Mais on n’a pas le droit ! »
L’un essaya d’escalader la grille… Furent plus que trois.
Trois p’tits soldats, hier, visitèrent […]. En revenant,
Pour rendre célèbre le pays, nommèrent une rue. Pourtant
Parmi les trois, l’un fut perdu, c’était le meilleur d’eux.
En face de « 10 », il se repose… Les autres restèrent à deux.
Deux p’tits soldats discutent : – « Il est […] de la […]. »
– « Ou quatrième ? ». Son avenue, soudain, rencontre […]…
– « Le parking qui n'est pas payé va te coûter la vie ! »
L’un reste en solitude, n’ayant de vivre aucune envie.
« Oh ! Tous sont morts ! Quelle injustice ! C’est ma journée dernière !
Oui, c’est mon heure. » – Il a pensé. – « Je vais au […]. »
m. […]. Il y a une borne. Derrière – un érable jeune.
Il se repose là-bas. C’est tout. Il n’y a donc plus personne.