Phoenix / NewForez

Extrait du Ciste-Thématique n° 45 de Septembre 2009 a écrit :En allant chercher une ciste à côté d'une croix en bord de route, ce Cisteur a rencontré un premier problème : un tracteur avec remorque était stationné près de la croix sur le seul emplacement possible. Après s'être garé en bord de route, deuxième problème : à côté du tracteur, et profitant de l'ombre faite par la remorque, un paysan (a priori le propriétaire du tracteur) faisait la sieste. Le sac (d'engrais ?) qui lui servait d'oreiller était posé sur la grosse pierre sous laquelle se trouvait la ciste ! Notre Cisteur s'est permis de réveiller doucement le paysan et lui a expliqué notre jeu en précisant qu'il devait récupérer une boîte sous la grosse pierre. L'homme, compréhensif, a rigolé et dit : "Heureusement que nous (sous-entendu : les paysans), on n'est pas des drôles (dans le sens étymologique du terme, sans doute) sinon vot'e boîte on l'aurait j'tée." Notre Cisteur a pu faire son échange, remettre la ciste sous la grosse pierre, et préciser au paysan qu'il risquait d'être encore dérangé. Cela ne l'a pas perturbé. Il a re-positionné son "oreiller" sur la grosse pierre et a recommencé sa sieste !

"Le chemin du raboliot", je l'imagine comme çà

L’aube avait laissé aux branches, aux aiguilles des sapins, aux mailles des clôtures grillagées, de fines arabesques de givre. C’était au haut des arbres, là où s’affirment les ramilles, que c’était le plus joli. Le ciel, tout à l’heure plombé, semblait monter de minute en minute. Il y eut un instant où les cimes givrées des arbres se fondirent dans la blancheur, et puis elles furent blanches de nouveau, et brillantes, à cause du bleu tout frais qui s’éployait là-haut.

Raboliot a écrit :"Le chemin du raboliot", je l'imagine comme çà

L’aube avait laissé aux branches, aux aiguilles des sapins, aux mailles des clôtures grillagées, de fines arabesques de givre. C’était au haut des arbres, là où s’affirment les ramilles, que c’était le plus joli. Le ciel, tout à l’heure plombé, semblait monter de minute en minute. Il y eut un instant où les cimes givrées des arbres se fondirent dans la blancheur, et puis elles furent blanches de nouveau, et brillantes, à cause du bleu tout frais qui s’éployait là-haut.

slinave a écrit :en image, ça pourrait ressembler à ça :

Raboliot a écrit :"Le chemin du raboliot", je l'imagine comme çà

L’aube avait laissé aux branches, aux aiguilles des sapins, aux mailles des clôtures grillagées, de fines arabesques de givre. C’était au haut des arbres, là où s’affirment les ramilles, que c’était le plus joli. Le ciel, tout à l’heure plombé, semblait monter de minute en minute. Il y eut un instant où les cimes givrées des arbres se fondirent dans la blancheur, et puis elles furent blanches de nouveau, et brillantes, à cause du bleu tout frais qui s’éployait là-haut.

slinave a écrit :

Raboliot a écrit :"Le chemin du raboliot", je l'imagine comme çà

L’aube avait laissé aux branches, aux aiguilles des sapins, aux mailles des clôtures grillagées, de fines arabesques de givre. C’était au haut des arbres, là où s’affirment les ramilles, que c’était le plus joli. Le ciel, tout à l’heure plombé, semblait monter de minute en minute. Il y eut un instant où les cimes givrées des arbres se fondirent dans la blancheur, et puis elles furent blanches de nouveau, et brillantes, à cause du bleu tout frais qui s’éployait là-haut.

en image, ça pourrait ressembler à ça :

chamix a écrit :pas inspiré(e)s par les rimes de février de "encore un vers" ?...
carnaval, festival, gibet, sorbet

seulement 2 quatrains reçus à ce jour !....

sioux a écrit : parce que tu n'as pas relu le CT

en 2 semaines, il y a des détails dont je ne me souviens plus

jrvhal a écrit :je ne crois pas que ce soit Akmonbou ça déblaie un peu les choses!