périgrinations et 1ère ciste
Publié : lun. 24 mai 2010 21:33
Bonsoir,
Quel week end !
Décidée par le radieux soleil, j'ai embarqué ma mère et ma fille (3 générations) dans la recherche des cistes. J'ai démarré par la 10@33932, non loin du domicile maternel. Pas de bol : la photo correspond mais rien à voir. Bon.
Nous passons à la 10@9221 : bien repéré, tout correspond mais rien. (faut dire que le numéro la dénonce comme vieille mais enfin).
Finalement, nous nous résignons à attaquer la 10@37572. L'énigme est facile, nous descendons la rue, rien. Encore une vieille ciste. Bon. Nous remontons la rue, le coeur en berne, en admirant les maisons. Surtout celle-là. Elle est si remarquable. Le nez en l'air, les deux plus vieilles papotent, papotent. La jeune, qui s'ennuie, jette un oeil près d'une borne GDF (elle a lu les indications des cistes)... et m'interpelle ; un sac plastique marron roulé serré se cache sous des feuilles. Bingo ! la première ciste de la famille kyriellenne est mise au jour. Nous mettons un petit mot, je note le nom sur la couverture du carnet (tiens, ne correspond pas à notre feuille) ; faisons l'échange (Mamie exige de mettre l'éléphant dodu et bleu). Nous repartons, ravies, juste au moment où des habitants sortent de la maison, sûrement inquiètes pour le superbe cabriolet (ouvert) garé dans la rue. Pouffant comme des collégiennes, nous repartons vers la ciste 10@31736.
L'énigme est là encore facile (proche du domicile encore). Nous trouvons le lieu. Un pré. Dans lequel nous entrons. Nous avançons. Et nous apercevons dans le fond du pré, près de la rivière, des vaches. Mamie, échaudée par de malheureuses expériences de son enfance, bat en retraite (et si c'était des taureaux ?). Conciliabule pour savoir que faire. Courageusement, nous envoyons la jeune génération voir le saule là-bas. Promis, je surveille les ruminants. Nous lui disons que finalement, à relire, c'est le saule plus près. Il faudrait passer sous le barbelé. Je tourne la tête et je vois la bestiole qui s'est approchée. "Reviens sans courir, surtout". Ma fille, n'écoutant que son courage, revient en prenant ses jambes à son cou. Le ruminant viendra nous sentir, c'est un taurillon, il est intrigué par notre présence. Ma fille fera des photos de son exploit !! Nous essayons d'accéder au spot par l'extérieur, mais impossible. Ma fille est passée entre les barbelés et les ronces mais est arrêtée par l'énorme terrier d'un lapin ou d'un renard.
Nous en restons à une ciste, mais ma mère est mordue, elle a rêvé des cistes...
Chouette week-end... Nous recommencerons.
au fait : à bien chercher, la ciste que nous avons trouvée n'est pas la 10@37572 mais la 10@9215 (le nom sur le carnet correspond).

Quel week end !
Décidée par le radieux soleil, j'ai embarqué ma mère et ma fille (3 générations) dans la recherche des cistes. J'ai démarré par la 10@33932, non loin du domicile maternel. Pas de bol : la photo correspond mais rien à voir. Bon.
Nous passons à la 10@9221 : bien repéré, tout correspond mais rien. (faut dire que le numéro la dénonce comme vieille mais enfin).
Finalement, nous nous résignons à attaquer la 10@37572. L'énigme est facile, nous descendons la rue, rien. Encore une vieille ciste. Bon. Nous remontons la rue, le coeur en berne, en admirant les maisons. Surtout celle-là. Elle est si remarquable. Le nez en l'air, les deux plus vieilles papotent, papotent. La jeune, qui s'ennuie, jette un oeil près d'une borne GDF (elle a lu les indications des cistes)... et m'interpelle ; un sac plastique marron roulé serré se cache sous des feuilles. Bingo ! la première ciste de la famille kyriellenne est mise au jour. Nous mettons un petit mot, je note le nom sur la couverture du carnet (tiens, ne correspond pas à notre feuille) ; faisons l'échange (Mamie exige de mettre l'éléphant dodu et bleu). Nous repartons, ravies, juste au moment où des habitants sortent de la maison, sûrement inquiètes pour le superbe cabriolet (ouvert) garé dans la rue. Pouffant comme des collégiennes, nous repartons vers la ciste 10@31736.
L'énigme est là encore facile (proche du domicile encore). Nous trouvons le lieu. Un pré. Dans lequel nous entrons. Nous avançons. Et nous apercevons dans le fond du pré, près de la rivière, des vaches. Mamie, échaudée par de malheureuses expériences de son enfance, bat en retraite (et si c'était des taureaux ?). Conciliabule pour savoir que faire. Courageusement, nous envoyons la jeune génération voir le saule là-bas. Promis, je surveille les ruminants. Nous lui disons que finalement, à relire, c'est le saule plus près. Il faudrait passer sous le barbelé. Je tourne la tête et je vois la bestiole qui s'est approchée. "Reviens sans courir, surtout". Ma fille, n'écoutant que son courage, revient en prenant ses jambes à son cou. Le ruminant viendra nous sentir, c'est un taurillon, il est intrigué par notre présence. Ma fille fera des photos de son exploit !! Nous essayons d'accéder au spot par l'extérieur, mais impossible. Ma fille est passée entre les barbelés et les ronces mais est arrêtée par l'énorme terrier d'un lapin ou d'un renard.
Nous en restons à une ciste, mais ma mère est mordue, elle a rêvé des cistes...
Chouette week-end... Nous recommencerons.
au fait : à bien chercher, la ciste que nous avons trouvée n'est pas la 10@37572 mais la 10@9215 (le nom sur le carnet correspond).
