Le Bourdon Poète n° 21955, Assumer tu devras
Publié : sam. 06 juin 2009 22:52
Archives du Bourdon Poète
Rappel : le Bourdon Poète (N° 21955 le 28/10/2006 par bubu-nico) est un bourdon dont la mission est d'obliger celui qui le prend à écrire un poème qui devra être publié sur ce fil.
Extraits des archives :
krapette Ecrit le: dimanche 29 octobre 2006
Bourdon, bourdon, en voilà un drôle de nom !
On aurait pu l'appeler mouche, abeille ou papillon.
Un monde de gens dont l'on ignore le prénom,
Recherchant en permanence de nouveaux horizons,
Dans les coins reculés de nos plaines et vallons.
On fouille, on trouve, on cache, on correspond,
Ne plus jamais de cette passion nous nous lasserons.
Grosjean Ecrit le: mercredi 08 novembre 2006
Nous sommes tous à toutes heures,
Occupés à divers labeurs :
Usiner dans la chaleur,
Souffler la buée dans la fraîcheur.
Encore un jour de passé,
Tenons le coup, ça va aller !
Irions-nous tout plaquer ?
Odieuse idée de dégonflé !
Non, la semaine va défiler,
Samedi, on va s'éclater :
Cister, c'est notre passion,
Etrangeté et déraison !
Quand on cherche une boîte,
Une énigme qui reste coite,
Enfin on trouve la cache étroite !
Voilà le couvercle que l'on soulève :
Oh, les choses que l'on découvre !
Urgent, il faut que l'on écrive,
Sur le Net, ce qui arrive !
Et parfois un bourdon poète,
Te force à te casser la tête !
Et si ces rimes sont si bêtes,
Sache t'en servir pour ta quête !
Corey Ecrit le: samedi 11 novembre 2006
Le triumvirat
C’est par un après midi de pluie
Que débute la queste de ces amis.
Après moult courriers ils sont réunis
Il y a le plus ancien, le sénéchal.
Il y a le plus jeune, le vassal
Et votre serviteur qui tint ce journal
Au rendez-vous fixé ils sont sur place
Chacun avec son destrier se déplace
Dès qu’ils se retrouvent, ils brisent la glace !
Ensemble ils partent quérir
Cet obscur objet du désir
Une ciste qui apporte du plaisir
Animé d’une énergie sous contrôle
Ils sont lancés sur la piste d’un drôle
Un cacheur qui cache bien son rôle
Des heures durant, ils cherchent le repli
Dans lequel la ciste attend à l’abri !
Fort mari de ne rien trouver, ils sont repartis
Jurant les mille mots d’infamies
Que le cacheur passerais de la vie !
Au trépas et à la fin de ses ennuis.
Pour ne pas rentrer désoler
Deux sont aller chercher le ressuscité
Sous les yeux du sénéchal médusé
Après une photo promptement menée
A la nuit tombée ils se sont quittés
En cette journée, une équipe ils ont formé.
cocomama Ecrit le: samedi 11 novembre 2006
cocomama humide est rentré
prendre une douche pour se réchauffer
suivi d'un ricard bien glacé
en rèvant à cette belle journée.
Le paparazzi nous a volé
un souvenir de notre amitié
mais à moitié il est pardonné
car ensemble on a bien rigolé
liloo2 Ecrit le: lundi 27 novembre 2006
Les péripéties d’un dimanche ensoleillé
Par un dimanche ensoleillé
Sept amis se sont retrouvés
Après avoir festoyer autour d’une bonne tablée
Aux sources ils sont allés guerroyer
Le ressuscité ils ont débusqué
Mais il a très peu résisté
Leur destrier ils ont repris
Chez le romain le rendez-vous était pris
Pas de répits, ni de mépris
Car lui aussi il fut pris
Sur leur lancé, une beauté ils sont allé voir
Mais ce ne fut que désespoir
Car ils n’ont pu l’avoir
Avec peine les amis se sont quittés
Chacun de leur côté, ils sont rentrés
Et leurs échanges, ils ont enregistrés
krapette Ecrit le: lundi 04 décembre 2006
N'est pas décapsuleur qui veut ! dry.gif
Décapsuler une ciste n'est pas un sport de tout repos
En particulier quand la région regorge de prétendants
Car résoudre ou décrypter l'énigme au plus tôt
A pour effet pervers de se croire tranquille pour autant
Pouvoir se libérer immédiatement pour y aller
Selon les métiers pour certains ce sera facilité
Une longueur d'avance qu'on croit à jamais acquise
Large surprise quand sur les lieux on constate sa bêtise
En sous-estimant ses compagnons cisteurs
Une médaille convoitée en temps que décapsuleur
Redeviendra très vite un lot de consolation pour cisteur
"En souvenir de la nuit du 3 au 4 décembre 2006 – 67@23404"
cocomama Ecrit le: dimanche 17 décembre 2006
e Bourdon de Noel
Chaque fois que le bourdon voyage
Avec lui se tourne une page
Finalement l'avoir c'est un honneur
En plus cela vient du coeur
Krapette le proposa sur un plateau
Uniquement trouvable avec un escargot
Cocomama déterminé l'a libéré à son tour
Heureux il l'était ,car il revit le jour
Et pour qu'il n'ait pas de chagrin
Noel il passera sous notre sapin
Cleapotre Ecrit le: dimanche 21 janvier 2007
Oubliant que cigogne,
Dans la boue, sans vergogne,
Adore poser ses pieds,
Comme tout échassier
Je m'en suis donc allé,
En fin de matinée,
Le sortir des ornières,
Ce bourdon. Pas peu fier !
Mais je dois, à présent,
Comme gage inconscient,
M'acquitter d'un poème
Dont je choisis le thème :
L'idée qui m'est venue
En souhaitant qu'elle vous plût
Est de vous résumer
Ses cistes butinées flowers.gif
Voici donc l'ouvrage.
N'y voyez nul outrage
Si quelque alexandrin
Vous semble un peu moins bien ...
La chanson de geste du bourdon poète :
Il t’aura donc fallu butiner sept étapes
Avant d’atteindre celle où enfin je t’attrape !
Ton étonnant parcours, que j’ai lu ciste à ciste,
Se construit doucement comme un lent jeu de piste
Car si Bubu-Nico, en octobre, t’ont fait naître
C’est à nouveau chez eux que tu continuais d’être :
De la ciste des comtes et de leurs armoiries
Tu finis en clin d’œil dans celle de - - - - -
Après avoir un temps avec les morts parlé,
Tu t’es, depuis, tourné vers le ressuscité
Et puis, de source en source, jusqu’au poste de garde
Attendant qu’un cisteur à nouveau te regarde …
Est-ce curiosité, malsaine ou naturelle,
Qui nous poussent ainsi à répondre à l’appel ?
Quand au bronze des cloches répondent les cigognes
Mon pied devient léger et j’ai le cœur qui cogne
Te voici donc, bourdon, pour un temps dans ma main !
Pour un temps, seulement, car déjà tu rejoins,
La dame sous son chêne, pour une tendre étape
Dont je ne doute pas qu’un beau jour tu t’échappes …
Cleapotre Ecrit le: vendredi 09 mars 2007
Mais que devient séant notre bourdon poète ?
N’a-t-il donc nul envie de quitter sa cachette ?
Plus d’un mois est passé depuis qu’il s’est posé
Dans ce chêne où, à vie, il semble demeurer !
Au sein du nid douillet, au creux du chêne mort,
Abandonnant l’hiver à son coquin de sort,
Est-ce pour éviter d’effaroucher sa dame
Que l’aide d’un cisteur, jamais il ne réclame ?
Pourtant, le sol est sec, point de boue, ni de ronces !
Quel argument donner, justifiant qu’on renonce
A le récupérer, à l’extraire de sa cache,
Et à lui affecter une neuvième tâche ?
Le prix qu’il faut payer (trois ou quatre versets),
Paraît-il à certains tellement élevé ?
Ceux qui s’y sont lancés, pourtant vous le diront :
Avec facilité grandit l’inspiration !
newra Ecrit le: samedi 31 mars 2007
Aujourd'hui j'ai cisté
Je me suis éclatée
Rentrée couverte de boue
Je tiens à peine debout
Vu dix-neuf multitroncs
Cherché sous dix-sept ponts
Dérangé six lézards
Retourné huit hectares
"Ah non on ne part pas
Je suis sure qu'elle est là!"
Esquivé neuf badauds
Ruiné mon sac à dos
Visité trois chapelles
Ramassé deux gamelles
Fouillé sous plein de ronces
Pas trouvé la réponse
Shooté dans quarante mottes
"c'est certain, c'est le spot"
Explosé dix-sept souches
"celle-là, elle a l'air louche"
Démonté quelques ruines
Tombée dans des épines
Agressée par un cygne
Malgré tout restée digne
Vraiment j'ai de la chance
Demain je recommence
Corey Ecrit le: mercredi 11 avril 2007
Un bourdon dans sa boite se tenait,
Alors que d’autres le négligeaient.
Je le libère et je l’emporte,
Dans une autre ciste je le porte.
De ma plume je gratte le papier,
Pour un poème qui n’est pas le premier.
Au calme dans la verte forêt,
D’un pas alerte, je me promenais.
24 degrés pour aller cister,
Laisse présager d’un bel été.
Et si cela donne une soif de chameau,
Rien ne vaut de boire un peu d’eau.
Même si je sèche sur le poème,
Les mots d’esprit j’aime.
Non loin d’un petit cimetière,
Mais point sous quelques pierres.
Le bourdon vous attend à nouveau,
Dans un village qui est très très beau.
cocomama Ecrit le: jeudi 28 juin 2007
Après de longues interrogations
Bibi eut une illumination
En me Geoportant avec foi
Rire et joie vinrent à moi
What ?? mais c’est bien sur
On fut bête !!, ça c’est sur
Seulement je ne peux pas en rime
Indiquer à vous le lieu du crime
Ne laissez pas tomber la Moby
Dieu vous dira un jour merci
Doucement mais sûrement
On trouve assez naturellement
Car comme a son habitude avec Grosjean
Hyper logique c’est en trouvant
Dis toi pour sauver ton honneur
Impossible n’est pas cisteur
Enfin sauf si tu as peur
Après ces belles paroles en or
Faut te dépêcher pour faire poulidor
Finalement pour le fin mot de l’histoire
En la fameuse question renaîtra en toi l’espoir
Ne pas répondre à la tige ,serait nous décevoir
Et la suite, donc, chez qui qu'il est donc c'te bourdon ?
Rappel : le Bourdon Poète (N° 21955 le 28/10/2006 par bubu-nico) est un bourdon dont la mission est d'obliger celui qui le prend à écrire un poème qui devra être publié sur ce fil.
Extraits des archives :
krapette Ecrit le: dimanche 29 octobre 2006
Bourdon, bourdon, en voilà un drôle de nom !
On aurait pu l'appeler mouche, abeille ou papillon.
Un monde de gens dont l'on ignore le prénom,
Recherchant en permanence de nouveaux horizons,
Dans les coins reculés de nos plaines et vallons.
On fouille, on trouve, on cache, on correspond,
Ne plus jamais de cette passion nous nous lasserons.
Grosjean Ecrit le: mercredi 08 novembre 2006
Nous sommes tous à toutes heures,
Occupés à divers labeurs :
Usiner dans la chaleur,
Souffler la buée dans la fraîcheur.
Encore un jour de passé,
Tenons le coup, ça va aller !
Irions-nous tout plaquer ?
Odieuse idée de dégonflé !
Non, la semaine va défiler,
Samedi, on va s'éclater :
Cister, c'est notre passion,
Etrangeté et déraison !
Quand on cherche une boîte,
Une énigme qui reste coite,
Enfin on trouve la cache étroite !
Voilà le couvercle que l'on soulève :
Oh, les choses que l'on découvre !
Urgent, il faut que l'on écrive,
Sur le Net, ce qui arrive !
Et parfois un bourdon poète,
Te force à te casser la tête !
Et si ces rimes sont si bêtes,
Sache t'en servir pour ta quête !
Corey Ecrit le: samedi 11 novembre 2006
Le triumvirat
C’est par un après midi de pluie
Que débute la queste de ces amis.
Après moult courriers ils sont réunis
Il y a le plus ancien, le sénéchal.
Il y a le plus jeune, le vassal
Et votre serviteur qui tint ce journal
Au rendez-vous fixé ils sont sur place
Chacun avec son destrier se déplace
Dès qu’ils se retrouvent, ils brisent la glace !
Ensemble ils partent quérir
Cet obscur objet du désir
Une ciste qui apporte du plaisir
Animé d’une énergie sous contrôle
Ils sont lancés sur la piste d’un drôle
Un cacheur qui cache bien son rôle
Des heures durant, ils cherchent le repli
Dans lequel la ciste attend à l’abri !
Fort mari de ne rien trouver, ils sont repartis
Jurant les mille mots d’infamies
Que le cacheur passerais de la vie !
Au trépas et à la fin de ses ennuis.
Pour ne pas rentrer désoler
Deux sont aller chercher le ressuscité
Sous les yeux du sénéchal médusé
Après une photo promptement menée
A la nuit tombée ils se sont quittés
En cette journée, une équipe ils ont formé.
cocomama Ecrit le: samedi 11 novembre 2006
cocomama humide est rentré
prendre une douche pour se réchauffer
suivi d'un ricard bien glacé
en rèvant à cette belle journée.
Le paparazzi nous a volé
un souvenir de notre amitié
mais à moitié il est pardonné
car ensemble on a bien rigolé
liloo2 Ecrit le: lundi 27 novembre 2006
Les péripéties d’un dimanche ensoleillé
Par un dimanche ensoleillé
Sept amis se sont retrouvés
Après avoir festoyer autour d’une bonne tablée
Aux sources ils sont allés guerroyer
Le ressuscité ils ont débusqué
Mais il a très peu résisté
Leur destrier ils ont repris
Chez le romain le rendez-vous était pris
Pas de répits, ni de mépris
Car lui aussi il fut pris
Sur leur lancé, une beauté ils sont allé voir
Mais ce ne fut que désespoir
Car ils n’ont pu l’avoir
Avec peine les amis se sont quittés
Chacun de leur côté, ils sont rentrés
Et leurs échanges, ils ont enregistrés
krapette Ecrit le: lundi 04 décembre 2006
N'est pas décapsuleur qui veut ! dry.gif
Décapsuler une ciste n'est pas un sport de tout repos
En particulier quand la région regorge de prétendants
Car résoudre ou décrypter l'énigme au plus tôt
A pour effet pervers de se croire tranquille pour autant
Pouvoir se libérer immédiatement pour y aller
Selon les métiers pour certains ce sera facilité
Une longueur d'avance qu'on croit à jamais acquise
Large surprise quand sur les lieux on constate sa bêtise
En sous-estimant ses compagnons cisteurs
Une médaille convoitée en temps que décapsuleur
Redeviendra très vite un lot de consolation pour cisteur
"En souvenir de la nuit du 3 au 4 décembre 2006 – 67@23404"
cocomama Ecrit le: dimanche 17 décembre 2006
e Bourdon de Noel
Chaque fois que le bourdon voyage
Avec lui se tourne une page
Finalement l'avoir c'est un honneur
En plus cela vient du coeur
Krapette le proposa sur un plateau
Uniquement trouvable avec un escargot
Cocomama déterminé l'a libéré à son tour
Heureux il l'était ,car il revit le jour
Et pour qu'il n'ait pas de chagrin
Noel il passera sous notre sapin
Cleapotre Ecrit le: dimanche 21 janvier 2007
Oubliant que cigogne,
Dans la boue, sans vergogne,
Adore poser ses pieds,
Comme tout échassier
Je m'en suis donc allé,
En fin de matinée,
Le sortir des ornières,
Ce bourdon. Pas peu fier !
Mais je dois, à présent,
Comme gage inconscient,
M'acquitter d'un poème
Dont je choisis le thème :
L'idée qui m'est venue
En souhaitant qu'elle vous plût
Est de vous résumer
Ses cistes butinées flowers.gif
Voici donc l'ouvrage.
N'y voyez nul outrage
Si quelque alexandrin
Vous semble un peu moins bien ...
La chanson de geste du bourdon poète :
Il t’aura donc fallu butiner sept étapes
Avant d’atteindre celle où enfin je t’attrape !
Ton étonnant parcours, que j’ai lu ciste à ciste,
Se construit doucement comme un lent jeu de piste
Car si Bubu-Nico, en octobre, t’ont fait naître
C’est à nouveau chez eux que tu continuais d’être :
De la ciste des comtes et de leurs armoiries
Tu finis en clin d’œil dans celle de - - - - -
Après avoir un temps avec les morts parlé,
Tu t’es, depuis, tourné vers le ressuscité
Et puis, de source en source, jusqu’au poste de garde
Attendant qu’un cisteur à nouveau te regarde …
Est-ce curiosité, malsaine ou naturelle,
Qui nous poussent ainsi à répondre à l’appel ?
Quand au bronze des cloches répondent les cigognes
Mon pied devient léger et j’ai le cœur qui cogne
Te voici donc, bourdon, pour un temps dans ma main !
Pour un temps, seulement, car déjà tu rejoins,
La dame sous son chêne, pour une tendre étape
Dont je ne doute pas qu’un beau jour tu t’échappes …
Cleapotre Ecrit le: vendredi 09 mars 2007
Mais que devient séant notre bourdon poète ?
N’a-t-il donc nul envie de quitter sa cachette ?
Plus d’un mois est passé depuis qu’il s’est posé
Dans ce chêne où, à vie, il semble demeurer !
Au sein du nid douillet, au creux du chêne mort,
Abandonnant l’hiver à son coquin de sort,
Est-ce pour éviter d’effaroucher sa dame
Que l’aide d’un cisteur, jamais il ne réclame ?
Pourtant, le sol est sec, point de boue, ni de ronces !
Quel argument donner, justifiant qu’on renonce
A le récupérer, à l’extraire de sa cache,
Et à lui affecter une neuvième tâche ?
Le prix qu’il faut payer (trois ou quatre versets),
Paraît-il à certains tellement élevé ?
Ceux qui s’y sont lancés, pourtant vous le diront :
Avec facilité grandit l’inspiration !
newra Ecrit le: samedi 31 mars 2007
Aujourd'hui j'ai cisté
Je me suis éclatée
Rentrée couverte de boue
Je tiens à peine debout
Vu dix-neuf multitroncs
Cherché sous dix-sept ponts
Dérangé six lézards
Retourné huit hectares
"Ah non on ne part pas
Je suis sure qu'elle est là!"
Esquivé neuf badauds
Ruiné mon sac à dos
Visité trois chapelles
Ramassé deux gamelles
Fouillé sous plein de ronces
Pas trouvé la réponse
Shooté dans quarante mottes
"c'est certain, c'est le spot"
Explosé dix-sept souches
"celle-là, elle a l'air louche"
Démonté quelques ruines
Tombée dans des épines
Agressée par un cygne
Malgré tout restée digne
Vraiment j'ai de la chance
Demain je recommence
Corey Ecrit le: mercredi 11 avril 2007
Un bourdon dans sa boite se tenait,
Alors que d’autres le négligeaient.
Je le libère et je l’emporte,
Dans une autre ciste je le porte.
De ma plume je gratte le papier,
Pour un poème qui n’est pas le premier.
Au calme dans la verte forêt,
D’un pas alerte, je me promenais.
24 degrés pour aller cister,
Laisse présager d’un bel été.
Et si cela donne une soif de chameau,
Rien ne vaut de boire un peu d’eau.
Même si je sèche sur le poème,
Les mots d’esprit j’aime.
Non loin d’un petit cimetière,
Mais point sous quelques pierres.
Le bourdon vous attend à nouveau,
Dans un village qui est très très beau.
cocomama Ecrit le: jeudi 28 juin 2007
Après de longues interrogations
Bibi eut une illumination
En me Geoportant avec foi
Rire et joie vinrent à moi
What ?? mais c’est bien sur
On fut bête !!, ça c’est sur
Seulement je ne peux pas en rime
Indiquer à vous le lieu du crime
Ne laissez pas tomber la Moby
Dieu vous dira un jour merci
Doucement mais sûrement
On trouve assez naturellement
Car comme a son habitude avec Grosjean
Hyper logique c’est en trouvant
Dis toi pour sauver ton honneur
Impossible n’est pas cisteur
Enfin sauf si tu as peur
Après ces belles paroles en or
Faut te dépêcher pour faire poulidor
Finalement pour le fin mot de l’histoire
En la fameuse question renaîtra en toi l’espoir
Ne pas répondre à la tige ,serait nous décevoir
Et la suite, donc, chez qui qu'il est donc c'te bourdon ?
) de la ciste 35453 :
) ? vous le saurez sous peu...
je ne pourrais y aller que jeudi car ma directrice est 2 jours à Paris est que je dois faire l'astreinte !
Superbes poèmes ! 
