Stefan Edberg
Le 10 septembre 1983, le suédois Stefan Edberg joue contre Patrick McEnroe en demi-finale de l'Us Open Junior. Soudain, c'est l'incident. L'une des balles de Edberg frappe de plein fouet un juge de ligne, Dick Wertheim, 61 ans. Déséquilibré, il tombe et sa tête heurte le ciment du court. L'arbitre est inconscient. Panique sur le court. Malheureusement, il ne se réveillera pas. Il décède 5 jours plus tard. Stefan Edberg remporte toutefois le tournoi. Mais, l'évènement marqua énormément ce joueur de 17 ans.
En la nature j'ai adoré dans l'infinie variété des saisons et des ans le perpétuel renouveau.
Etienne CLEMENTEL
Au cours du XVIIIème siècle, en France, a surgi un mouvement de ferveur religieuse très dévote qui se manifestait par des transes profondes, dont les sujets se raidissaient tellement et devenaient tellement insensibles qu'ils pouvaient réclamer les pires sévices expiatoires, allant même jusqu'à subir plusieurs fois la crucifixion. Le nom de ces adeptes ?
Le vocable « convulsionnaires » est forgé au xviiie siècle à partir du terme médical de convulsion. En effet, il sert à l'origine à désigner collectivement des individus atteints de troubles mentaux qui, lors de transes mystico-religieuses, présentent des convulsions, entre autres manifestations spectaculaires.
Le terme « convulsionnaire » apparaît spontanément à la fin de l'année 1731. Il n'a alors aucune connotation médicale et est parfaitement inconnu des traités de médecine de l'époque. Il est utilisé à la fois par les partisans des convulsions et par leurs détracteurs, qui parlent cependant aussi de « convulsionnistes ».
Les convulsionnaires se réunissent dans des lieux privés, salons, caves ou greniers. Les séances se déroulent devant un public restreint formé de partisans convaincus. Les convulsions changent progressivement de signification : de signes de guérison, elles deviennent les manifestations d'une agression du corps du convulsionnaire. Celui-ci demande alors aux autres assistants de le « secourir ». Les secours deviennent alors une action des assistants pour détendre et soulager le convulsionnaire. Il s'agit de tirer ou presser ses membres crispés, de l'aider à supporter l'agression. Les médecins et apothicaires du temps se penchent sur le phénomène, surpris de l'absence de douleur des convulsionnaires.
Rapidement, on donne à ces crispations, ces convulsions martyrisantes, une signification symbolique adaptée au contexte de lutte du moment : le convulsionnaire représente l'Église souffrante, persécutée, contrainte de subir les attaques commises contre la Vérité.
Les séances convulsionnaires deviennent des mises en scène de la persécution. Les secours se font de plus en plus violents, et la résistance aux coups est une justification de l'efficacité de la grâce et des prises de position des convulsionnaires : leur action est juste puisque les personnes récipiendaires des secours ne semblent pas éprouver de douleur. Le secours suprême est la crucifixion. Elle est pratiquée sur quelques frères ou sœurs très en vue dans le mouvement, et parfois très régulièrement, à partir de la fin des années 1750. Ainsi un jeune homme a été crucifié dix-huit fois en six mois en 1765. Cette crucifixion est l'identification totale du corps du chrétien au corps du Christ crucifié. La pratique de la crucifixion finit par supplanter les autres secours et se passe de discours connexe ou de commentaires : « Il y a actuellement à la fin de 1783 beaucoup de crucifiements et d'opérations surnaturelles des plus prodigieuses où les convulsionnaires conservent toute leur présence d'esprit. Il y a peu de discours en comparaison de ce qui a été jusqu'alors».
barbs a écrit :
Il doit encore y en avoir au moins deux: Emil Zatopek en 1952 gagne les 5000 et 10 000 puis gagne le marathon,distance qu'il n'avait jamais courue!
je t'accorde donc la bonne réponse ....
je pensais au néo_zélandais Peter Snell, adversaire de Jazy qui remporta à Tokyo l'or sur 15OO m, distance qu'il n'avait jamais courue (c'était un piège car en fait il courait d'habitude sur le mile ......)
bonjour tout le monde
qui veut de mon vieux temps, pluie, vent , froid, je donne avec plaisir contre bons soins
toute société qui prétend assurer aux hommes la liberté, doit commencer par leur garantir l'existence (Léon Blum)
Mets à profit le jour présent sans croire au lendemain (HORACE)
sioux a écrit :Merci, mais on a les mêmes à l'autre bout de l'hexagone !
Bonne dernière journée d'avril à tous ... Après on pourra ptêt faire ce qu'il nous plaira ?
J'aime ton optimisme!
Proverbes de la Margeride:En Avril ne te découvre pas d'un fil,en Mai remet tous tes effets...
Pour la St Robert,recommence l'hiver!
Carl Friedrich Gauss, né le 30 avril 1777 à Brunswick, est considéré par ses pairs comme le prince des mathématiciens. Il est à la fois le dernier des classiques, et le premier des modernes, c'est-à-dire qu'il a résolu les problèmes les plus classiques avec les méthodes les plus modernes. Par exemple, il démontra comment partager une tarte en 17 parts égales à l'aide d’une règle et d’un compas, ce qui était un problème ouvert depuis les grecs. Mieux, il démontra pour quels nombres ce partage en parts égales est possible.
Carl Friedrich Gauss, né le 30 avril 1777 à Brunswick, est considéré par ses pairs comme le prince des mathématiciens. Il est à la fois le dernier des classiques, et le premier des modernes, c'est-à-dire qu'il a résolu les problèmes les plus classiques avec les méthodes les plus modernes. Par exemple, il démontra comment partager une tarte en 17 parts égales à l'aide d’une règle et d’un compas, ce qui était un problème ouvert depuis les grecs. Mieux, il démontra pour quels nombres ce partage en parts égales est possible.
sioux a écrit :Merci, mais on a les mêmes à l'autre bout de l'hexagone !
Bonne dernière journée d'avril à tous ... Après on pourra ptêt faire ce qu'il nous plaira ?
J'aime ton optimisme!
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Cette commune française l'a échappée belle lors de la dernière guerre : à cause de son nom, elle aurait pu subir peu ou prou le même sort qu'Oradour sur Glane. Son nom ?
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Agatheuse a écrit : ah non, vous avez viré Claudius du classement
C'est normal, j'étais parti loin de la France !
Merci Agathe
«C'est une erreur de croire nécessairement faux ce qu'on ne comprend pas.» Gandhi
"La Voie ne consiste pas à accomplir des actions admirables, la Voie consiste à accomplir
de façon admirable les actions ordinaires. Et ceci est la Vie dans la vie." Arnaud Desjardins
Le nom du village a failli coûter la vie à 21 Toutlemondais pendant l'été 1944.
Le 7 août, une camionnette de résistants se rend à Cholet pour y déposer un chargement d'armes récemment parachutées. Embourbé dans un chemin creux, le convoi attire l'attention des Allemands. Michel Créac'h, resté seul, est fait prisonnier et passé à tabac. « Pour qui sont les armes ? », lui demandent ses tortionnaires. Après plusieurs heures d'interrogatoire, celui-ci leur répond ironiquement : « Mais, pour tout le monde ! ». Cet aveu anodin en apparence, allait entraîner un grave quiproquo.
Après l'avoir abattu, les Allemands décident d'encercler le bourg de Toutlemonde. Dans la soirée, toutes les maisons sont fouillées et les hommes rassemblés pour la nuit dans une classe de l'école. Soixante-six au total.
Le maire, rapidement relâché, décide d'écrire aussitôt une lettre au sous-préfet pour l'alerter. La jeune toutlemondaise chargée de porter celle-ci en profita pour prévenir un certain Maurice Ulm, Alsacien d'origine et travaillant à Cholet, pour servir d'interprète et tenter de convaincre les Allemands de leur méprise.
Après quelques interrogatoires sommaires, les Allemands avaient désigné 21 otages, dont le maire, qu'ils s'apprêtaient à fusiller dans la cour de l'école si les destinataires des armes ne leur étaient pas dénoncés. Après d'âpres discussions, Maurice Ulm réussit à convaincre les Allemands de leur erreur. Vers midi, tous les hommes purent regagner leur habitation, indemnes mais extrêmement émus.